L’association Générations futures a publié un rapport d’analyse sur les contrôles sanitaires effectués par les agences régionales de santé en 2019 avec pour objectif de déceler la présence ou non de pesticides, perturbateurs endocriniens et autres substances reprotoxiques*, mutagènes ou cancérogènes (CMR).
Les résultats obtenus par l’association parlent d’eux-mêmes. Sur 273 447 prélèvements, 15 590 ont des quantifications individuelles de pesticides. De surcroit, 8 835 de ces échantillons révèlent « la présence d’au moins un résidu de pesticide au-delà des limites de quantifications ».
L’analyse s’est ensuite penchée sur la présence de molécules CMR (cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques) et PE (potentiel perturbateur endocrinien). Sur les 15 990 quantifications individuelles de pesticides :
• 38,5% sont des CMR
• 56,8% sont des PE
Ces analyses mettent en lumière un fait important : l’eau du robinet contient des pesticides. Il y a donc une exposition quotidienne au PE et CMR, ce qui peut paraitre inquiétant. Cependant, la Commission Européenne, consciente des problèmes liés aux pesticides, a demandé une réduction de 50% de l’usage de pesticides.
NOTRE SOLUTION :
Agissez sans plus attendre en investissant dans une station de traitement d’eau qui vous permettra de traiter les différents problèmes liés à l’eau courante.
*La reprotoxicité est tout phénomène de toxicité (substances, rayonnements…) pouvant altérer la fertilité de l’homme ou de la femme, ou altérer le développement de l’enfant à naître (avortement spontané, malformation…)